Une femme chirurgienne-dentiste guérit d’une douleur du poignet gauche et préserve ainsi sa carrière

Symptômes
Une femme chirurgienne-dentiste a une douleur du poignet gauche depuis plusieurs semaines.
Cette douleur la handicape dans son travail. Autre inconvénient : les chirurgiens payent une assurance spécifique sur leurs mains. Pour traiter sa douleur, elle était donc obligée de réaliser des examens médicaux en cachette, pour ne pas éveiller les soupçons de l’assurance maladie. Sinon, elle aurait dû payer une pénalité potentiellement définitive sur son assurance professionnelle, voire être dans l’obligation d’arrêter son métier si aucune assurance maladie ne voulait plus la couvrir après avoir découvert sa « fragilité au poignet ». Il lui fallait donc rapidement trouver une solution avec la complicité d’autres médecins pour ne pas être repérée par l’assurance maladie.
C’est cette raison qui l’a poussée à se tourner vers notre approche de la maladie.
discussion et symbolique
Le bras est symbolique de l’action, du travail et des projets que l’on veut réaliser. Le bras est aussi symbolique de l’accompagnement des enfants car on « fait » un enfant, on l’accouche par « le travail » et on l’élève. On l’épaule, ou on le met sous son aile.
Le poignet est plus précisément symbolique du passage à l’acte.
A 33 ans, cette femme est « en âge de faire des enfants » avec son compagnon. Elle se sent obligée à en avoir un maintenant par les conventions sociales, mais elle ne se sent pas prête. Le côté gauche symbolise ce que je veux faire. Si c’est son compagnon qui l’avait forcé à en avoir, la douleur aurait été du coté droit.
Guérison
Elle guérit instantanément après avoir avoué qu’elle ne se sentait pas prête à avoir un enfant. Quelques minutes de réflexion sur le sujet ont suffi. Elle aurait peut-être guéri aussi avec la voie médicale classique, mais le simple fait de réaliser les examens nécessaires en France l’aurait pénalisé au niveau de son assurance professionnelle.
Cela aurait pu être une bonne publicité pour nous si cette dentiste avait pu témoigner directement mais hélas, elle préfère rester anonyme, et nous la comprenons… Pour le moment, nous aussi nous aidons les soignants « en douce ».